le domaine de l’immobilier. Récemment,
TERGOS a fait l’acquisition de terrains en
milieu urbain. Cette année, deux lots ont
été achetés en vue d’y bâtir un projet im-
mobilier d’ici la fin de 2017 : un tout pre-
mier projet de maisons individuelles et
collectives pour TERGOS au centre-ville de
Québec. « Nous aimons l’idée de densifier
les milieux urbains au lieu de contribuer à
l’étalement urbain », souligne M. Montero.
TERGOS a également contribué au pay-
sage non résidentiel de la région. Lévis
est une ville qui se trouve en face de la
ville Québec, de l’autre côté du fleuve St-
Laurent. Un traversier relie les secteurs
les plus historiques de ces deux villes, ce
qui permet aux touristes et à la population
de Québec d’apprécier la beauté de ces
lieux à partir du fleuve. Le plus gros projet
deTERGOS jusqu’ici est la construction de
la structure en bois de la Gare fluviale de
laTraverse Québec-Lévis, particulièrement
son toit en CLT.
LES PILIERS DE
L’ARCHITECTURE VERTE
« L’industrie de la construction est une vé-
ritable jungle. Elle est sans pitié et c’est
facile d’y laisser des plumes », déclare M.
Montero. TERGOS est convaincue que
dans le domaine de la construction les
choses peuvent se faire de façon éthique
et respectueuse pour l’environnement.
Pour ce faire, l’entreprise a développé
pour la construction écologique sept stra-
tégies axées sur la qualité, la conception,
la topographie, les matériaux et l’efficacité
énergétique.
En premier lieu, c’est la qualité dans toutes
les étapes, du processus de conception
aux matériaux et à la construction. « Nous
devons concevoir la qualité. En principe,
lorsque vous bâtissez quelque chose de
mieux, elle dure plus longtemps », affirme
M. Montero. À long terme, des structures
plus résistantes engendrent moins de
perte et moins de dépenses liées aux res-
sources.
Sebastien Gaudreault
FEBRUARY 2017
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